Le président français Emmanuel Macron, entouré du Premier ministre Saad Hariri, qu’il tient par le bras, et de la secrétaire générale adjointe de l’ONU, Amina Mohammad. Philippe Wojazer/AFP

DISTANCIATIONLe GIS appelle à l’application de la résolution 1559 et de la déclaration de Baabda en dépit de réserves de Moscou et de membres de la délégation libanaise.
09/12/2017
Réuni hier au Quai d’Orsay sous la présidence du chef de l’État français, Emmanuel Macron, le Groupe international de soutien au Liban (GIS) a réaffirmé son appui indéfectible à la stabilité du Liban aux plans politique et de la sécurité, et s’est engagé à le traduire par trois réunions internationales qui seraient lancées à partir de l’an prochain et qui devraient aider le pays à relever les principaux défis auxquels il est confronté : la sécurité, le développement économique et les déplacés. Un soutien qui reste cependant sous condition, le Liban étant désormais placé sous surveillance étroite, comme l’ont très diplomatiquement fait remarquer les intervenants à la réunion de Paris. L’appui dépend principalement du niveau d’engagement officiel à la politique de distanciation par rapport aux conflits de la région, approuvée mardi dernier en Conseil des ministres.
Réuni hier au Quai d’Orsay sous la présidence du chef de l’État français, Emmanuel Macron, le Groupe international de soutien au Liban (GIS) a réaffirmé son appui indéfectible à la stabilité du Liban aux plans politique et de la sécurité, et s’est engagé à le traduire par trois réunions internationales qui seraient lancées à partir de l’an prochain et qui devraient aider le pays à relever les principaux défis auxquels il est confronté : la sécurité, le développement économique et les déplacés. Un soutien qui reste cependant sous condition, le Liban étant désormais placé sous surveillance étroite, comme l’ont très diplomatiquement fait remarquer les intervenants à la réunion de Paris. L’appui dépend principalement du niveau d’engagement officiel à la politique de distanciation par rapport aux conflits de la région, approuvée mardi dernier en Conseil des ministres.
Inaugurée par le président Emmanuel Macron, la réunion du Quai d’Orsay était présidée par les Nations unies et la France,……