Un trio de personnages liés par l’amour, la musique, la poésie, l’espionnage et le nationalisme.

« Al-Nabiza » (L’exclue, Dar al-Jadid, 325 pages), un roman touffu dans une langue arabe aux diaprures sophistiquées et raffinées, fidèle aux antérieures préoccupations d’irakienne exilée de l’auteure.
Edgar DAVIDIAN | OLJ
17/10/2017
À soixante-cinq ans, « sorbonnarde » avec un doctorat en civilisation islamique, Inaam Kachachi, née à Bagdad, du journalisme audio et écrit aux romans, biographies et essais, n’en a pas fini de culpabiliser d’être loin de sa terre natale. De se sentir mise à l’écart. De le dire et de le clamer bien haut…….
À soixante-cinq ans, « sorbonnarde » avec un doctorat en civilisation islamique, Inaam Kachachi, née à Bagdad, du journalisme audio et écrit aux romans, biographies et essais, n’en a pas fini de culpabiliser d’être loin de sa terre natale. De se sentir mise à l’écart. De le dire et de le clamer bien haut…….